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Show 7* A R L E a U lN S C E N E It ARLEaUlN,UneESCLAVE. L'ESCLAVE. A I K Z 4 - (Lesfilks do nanterre) L'Efclave Favorite, Dans fon appartement, Inquiete, interdite, ' Attend fon jeune Amant. r „„*>+*•** chante lc derrittr A R L E Q U I N , fintfe montrer, (^ Attend fon jeune Amant. T 'Ffc'ave «onn<e d'enendre repetet ces^oTeT: & * . ^ ^ A S P X ^ c T u S ; * eue co, L'ESCLAVE, A I R 15- (Je ne fuis nUi Roi, ni Princt) E n Angleterre c o m m e en France, Les femmes ont toute licence; Et Von nous renferme chez. nous. O n diroit, a voir nos ufages, Q u i d les h o m m e s font plus fous, O u les femnv.s beaucoup moins fage?. AR$ INVISIBLE. 73 A R L E Q U I N , fans fe montrer, chante encore ce (dernier vers. Les femmes font beaucoup moins fages. L'Efclave eft encore plus etonnee. Ma-is Arlequin fe montre, cSr difiipe peu a peu le trouble dont elle eft faifie,- en lui faifant des mines. II lui dit: A R L E Q U I N . A I R 4. (Com?ne un Coucou que tamour prejje) Ne me prenez pas pour un Diable: Malgre" tous mes airs de Lutin, Touchez-moi, je fuis fort palpable: Je n'ai d'un D e m o n que le ttin. L'ESCLAVE, ( mime Air.) Je jugerois, a votre allure, Que vous etes un Enchanteur; Mais votre forme*mc rallure: U n h o m m e ne m e fait pas peur. ARLEQUIN. A I R 11. (Laire-la, laire lan-laire) Savez-vous ce qu en Occident O n dit des femmes d'Orient? Tome I. D On |