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Show aae w ••-••••.. f^H M '«=""%* Il8 A R L E Q U IN ARLEQUIN. AIR 20. (Du Cap de Bonne-efperance) O la charmante brouette ! Je l'accepte volontiers. Je pourrai par ma retraite Payer tous mes creanciers. BOUBEKIR. C'eft une des fept Merveilles. J'en veux fournir de pareilles A tous les Banqueroutiers. ARLEQUIN, apart. II en a done des milliers. BOUBEKIR, fur le ton des deux derniers vers. J'en ai fait proviiion Pour Paris & pour Lyon. ARLEQUIN. AIR if. (Allons gay) Un fi prexieux coffre yaut mieux que tout m o n bien. BOUBEKIR. Ccpendant, je vous 1'effSre,1 Si vous voulez, pour rien, m M A H O M E T. n5 ARLEQUIN. Allons, gay, D'un airgay, 6cc. Boubekir fe retire en faifant des facons pour lecevoir une bourfe qu'Arlequin lui doolie; SCENE V. A R L E Q.U I m,feul. II s'occupe a munir fon cofFre de pro-viiions. Il y met du fromage, des cerve-lats, du vin &c. jufqu'a un pot de cham-bre. A peine y a-t*il mistoutes ceschofes, qu'il arrive chez lui des Archers pour le ptendre. II fe jette dans la machine en difant: iAm 6?. (Void Us Dragons qui viennmt) ;Voici les Archers qui viennent, Vite fauvons-nous... SCENE VI. ARLEQUIN , quatre ARCHERS. Arlequin s'e'leve a quinze pieds de terre, & fe faifant voir aux Archers, il chante: AR« |