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Show V ARLEO.UIN 5 peine a-t >» tj" ,e. if je«e la bourfe, en qu'il va perd« >» v'»' fes J efte8 q u e cc vol faifae"ft i S e II lemef & le defefpere. U1 A £ficateor, choqu6 de la rep* L e Gr. perineaitu , Jt avoJr ^ l ^ ^ d J d ^ ^ i n d i g n c : LeGr.SACRlFICATEUR. AIR 17. ( ^w^ dJHefione.) Vous allez mourir pour l'Idole; Vous etes couvert de bijoux : D'un mortel qu'akifi Ton immole Le fort doit faire des jaloux. A R L E Q U I N . ( Mime. Air.) Monfieur le Grand-PrStre, de grace, Si ce deftin vous paroit doux, Vous n'avez qu'a prendre m a place. Le Gr. S A C R I F I C A T E U R baiffant Usjm ( dun air hypocrttt, Cet honneur n'eft point fait pour nous. Pendant ce terns la, l'Efclave Grecque qni a fon mouchoir a la main poutte des cr.is, & fait tomes les demonftrauons d.u- ROI DE SERENDIB. i7 ne Amantc defefperfee. Enfin , Arlequin s'approche d'elle, & lui die r A R L E Q U I N . A I R 10. (Mon pere, je viens devant vous) Je vais remplir mon tr.fte for:; 11 faut partir, chere mignomie; O n va m e condmre a la mort: Mais, helas! avec vous, bouchonne, Je n'ai folatre qu'un inltant! Eft-ce affez pour mourir content ? La G R E C Q U E .' A I R 4. (Comme un Coucou que Vamourpreffe) ConnoiUez toute m a tendrelTe; Je cours a l'Autel avec vous. Allons. II faut que la PretrelTe D'une picrre falle deux coups. Arlequin en cet endroic fait tous les ges-tes d'un Heros de Theatre qui ***fflige lam moderation. Enfuiie il dit: A R L E Q U I N . A I R 23. ( Nous fommes demi-douzaine) M a douleur fe renouvelle Par ces amoureux difcours, O Fortune cruelle! •Soule-toi de mes jours. B 7 ARLE- |