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Show MB • •Hi r IO A R L E d U lN del'Idole qu'on y ^^^SS^ rot ft Confidence faire des reflexions iur rot u ^mJli ,Tf| & rur \^m de leurs ]a coutumede line, oc IUI affaires. S C E N E IL MEZZETIN en Grande-Prctreffe> & P I E R R O T en Confidente. M E Z Z E T I N . A I R ^» (Menuet de M. de GrandvaL) D&eftons ce fatal rivage, O u nous vivons depuis trois mois; Pierrot, de ce climat fauvage Maudiffons les cruelles loix. A i R 43. ( Je ne fids pas ft diabk) Tous les mois fur le trone L'on place un Etranger; Mais, Ciel! on le couronnc, Pourquoi ? pour l'egorger I A u Temple d'une Idole, Qu'on nomme Kefa'ia, II faut que je l'immole A ce Dieu-la. La^«i PIER- «ff \ X ^ * ROI DE SERENDlIi: n J^rE R ¥^XX AI"R 20. ( Da, Cap de Bonne-efperance.) Nous fimes bien, fur mon ame, En arrivant, MejaeTin, De prendre un habit de femme, Pour fuir un pareil deftin. Le Grand-Vifir vous crut fille; II vous trouva bien gentille, \ Et vous fit, pour vos beaux yeux,'. ^^GfandsJ&^&eJTe en ces lieux. _^ M E Z Z E T I N. A I R 19. (Ne mentendez-vous pas) Oui; mais Pierrot, helas! Que je crains fa tendreffe ! Tous les jours il me preife,.,'•• T u vois mon embarras. Que n'ai-je moins d'appas!- P I E R R O T. A I R zz. (Le fameux Diogenes) Ah! ceffez de vous Dlaindre i • Ceft au Vifir a craindre: Vous fgavez que la loi Veut qu'il perde la vie, Si, lot /qu'on facrifle,* Serendib eft fans Roi. • A 6 AV^ |