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Show 398 LES FUNERAILLES La F O I R E , a la Comedie Francoife. Vous etes trop gdndreufe ! Me pardonne*. vous, M a d a m e, AIR 4. (Comme un Coucou que l'amourprtjfe) D'avoir par mes traits dc Satire ' Detache de vous tant de gens, Et d'avoir quelquc fois fait rire Toute la Ville a vos depens? La C O M E D I E Francoife Ne parlous point de cela. La F O I R E , a la Comedie Italienne. M a d a m e l'haliennc, A I R 2. (Quandje tuns de ce jus SOttobre) La mort termine nos querelles; N e foyez done plus en courroux, Si j'ai de mes Pieces nouvelles Plus retire d'argent que vous. La COMEDIE Italienne. J'oublie le paile en fuveur de l'avenir. La F O I R E , a la Comedie Francoije. Je forme des vceux pour vous. AIR I D E L A F O I R E. J99 Ai R 6< (Menuet de M. de Grandval.) Que le Public, rendant jufticc A tous vos antiques morceaux, Coure chez vous, les applaudilTc,. Sans en demandcr de nouveaux. La C O M E D I E Francoife. I! aura beau en demander , il n'en aura ma foi, gueres. * La FOIRE, a la Comedie Italienne, Et vous, M a d a m e, A I R 28. (Pourfaire honneur a la noce) N'ayez plus de jaloufie; M o n trepas va vous foutenir. Par lui vous pourrez obtenir A Paris droit de Bourg^oifie. N'ayez plus de jaloufie; M o n trepas va vous foutenir. La COMEDIE Italienne. Je le fouhaite. La C O M E D I E Francoife, a la Comedie ita~ ( itenne. A 1 R 1. (Rtveillen-vous, belle Endormie) Retirons-nous. Je vois paroitre Mon- |