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Show 318 LES A M O U RS ARLEQUIN, ayant donne un verre a Lucas, ( & lui ayant verfe du vin. A I R 135. (Ees Fanatiques) Allons, buvons a la fantd D e cette groiTe mere. (lis boivent) Sans oublier la Beautd Dont eft charmd Valere. {Us boivent encore. [Trinque a la pofterite Dont tu dois etre pere. ('tis recommencent a boire.) LUCAS. Morgue ! via de bon vin. Varfez-m'en encore. A vous & a moi prefentement. ARLEQUIN, choquM avec Wu Allons, a nous deux. L U C A S , apres avoir vuide fon verre. Horca, a ft'heure, a qui boirons-je ? Par-gud, a votre A m o u r eufe, Monfieu Arlequin. A R L E Q U I N , ^ ' verfant encore du vin. Je vous rcmercie, mon ami. j ^ DE, NANTERRE. 3,^ AIR 180. (Pavanne d'Enee.) Lucas eft un bon garcon, II entend bien a vuider un flacon. Oh! par m a foi, c'eft granddommagc Qu'il croupifle en un Village!, II auroit fait Tornement D u plus cdldbre Rdgiment. LUCAS. Oui; mais il ne faut qu'un coup feulement Pour bouttre un h o m m e au monument, ARLEQUIN. Tu crains la mort, parce que tu n'y es pas fait. Tien. Situ avois feulement deux Campagnes par devcrs toi, tu ecouterois ronfler le canon c o m m e une flute douce. LUCAS. Jarni! ft je favois ca, jemebouttroistout* a-1'heure dans le larvice. ARLEQUIN. Tu t'y accoutumeras , te dis-je.. . LUCAS. J'aimerois a ne farvir que dans les Revues. O4 ARLE- |