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Show 28o L E S A M O U RS M A T H U R I N E . Croyev.-moi. Vous dcvriez plutfttpenfer a maricr m a Couune. Mde. T H O M A S . O h ! cela ne preffe pas. M A T H U R I N E . Mais fongez a ce que dira tout le Village, fi... Mde. T H O M A S . A I R lif. (Le Cabaret eft mon reduit) Je fais qu'il en fera grand bruit; Mais, ma foi, je n'en fais que rire: Quand les gens auront tout dit, lis n'auront plus rien a dire, lis n'auront plus rien (3 fits) a dire. M A T H U R I N E . 0 C'eft fort bien fait a vous. Mde. T H O M A S , fierement. N e fuis-je pas maitreffe de mesvolonte^ M A T H U R I N E . Allurement. Tenez. Voila votre Lucas. Je vous laiile libres. j0 DE NANTERRE. 2gl ( d'un air moqueur.) Adieu, m a Tante. Mde. T H O M A S , fechemenf. Adieu , m a Nidce. Allez. On n'a pas befoin de votre confentement pour faire cette aftaire-la. (en colere.) Voyez un peu cette B<fgueule. (Mathurine lui fait la reverence & sen va. S C E N E III. Madame THOMAS, LUCAS. L U C A S. Qu'yat-ildonc, notre Maitreffe? II fern-bie que vous foyez en grogne. Mde. T H O M A S . A I R 7. (Tu eroyois en aimant Colette) Mon ami, c'eft contre ma Niece, Qui veut me donner des lecons, L U C A S. Voyez un peu la bonnne piece; Mais, ma foi, je nous en gaufTons. Mde. |