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Show A 218 LE M O N DE Ceft done au merite tout nu Que vous vous laiilez prendre. DIAMANTINE. 11 y a encore une petite difficult^ ; Meffieurs. Vous avez deux redoutables Rivaux a combattre. ARLEQUIN, mettant Us mains fur fes eotez. Deux Rivaux! (en de clamant.) ;,. J'en combattrois cent mille. Paroiflez Navarrois, Mores & CafhTlans..: ARGENTINE.! Vous avez du cceur; j'en fuis ravie. Sans adieu. Nous allons tout difpofer pour ces deux mariages. DIAMANT IN E. Soyez-nous fideles ; nous faurons vous retrouvcr. ARLEQUIN, a Argentine. AIR 1. ( Beveillez-vous, belle endormie) Je ferai conftant comme un diable, DIAMANTINE, a Pierrot. Soyez-le auffi, vous, mon ^kjvEjy R E N V E R S E ' . Zi9 PIERROT. En m'epoufant, mon adorable ; Vous epouferez un barbet. (Elles sen vont.) S C E N E III. ARLEQUIN, PIERROT. ARLEQUIN. ^ Pierrot mon ami , notre fortune eft frite. Voila deux treTors que nous allons poftedcr. PIERROT. H<£ , jarnonbille ! nous ne les tenons pas encore ! Diamantine dit comme ca que nous avons deux Rivaux qui ne fe mouchent pas du pied. ARLEQUIN. J'Qn l°ls.les confluences : Mais tu nas qua faire c o m m e moi. Tien. Quand mon Rival viendra , il m e regardera de cette facon-la. (ii fait fes lazzis) Je lc ra?il n' S CelIe"CL '' ParleZ ™ ^ ra-t-,1, ueit-ce pas vous, Pami, qui ve« nez ici m'ecornifler Argentine ? Oui-da, K 2 • Mon- |