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Show 28C L E S A M O U R S Mde. T H O M A S. Si 1'avois voulu ecouter certaines propo-fnions teferois l'heure a qu'ileft unegrofTe M a d a m e de Paris; mais j'aime mieux un bon Payfan qu'un Monficu. L U C A S. Vous avez raifon. Les Payfans avont Tamiquie plus farme. Mde. T H O M A S. Cours vite t'aquiter de la commimon que je t'ai donnee. Jc vais t'attendreau logis. L U C A S. A I R 5. (guand le peril eft agreable) Allez. Jc vas biantot vous fuivre. Mde. T H O M A S. M o n cher ami, ne tarde pas \ T u fiis que la pauvre Thomas Sans toi ne fauroit vivre. " lis fortent tons deux, Xm if* f $ & tjW de Xautre. S CEDE NANTERRE. *87 S C E N E IV. COLETTE, le MAGISTER. Le M A G I S T E R. A I R 1. (Reveillez-vous, belle Endormie) Cela fuffit, belle Colette; J'entreprends l'accommodement. La chofe fera bien tot faite: Je n'entreprends rien vainement. C O L E T T E . A I R 7. (Tu croyois, en aimant Colette) Vous allez done trouver ma Mere? Le M A G I S T E R. Oui, ma Migonne, de ce pas. C O L E T T E . Paslez-lui bien.. Le M A G I S T E R. Laiftez-moi faire. C O L E T T E . Mais.;; Le M A G I S T E R , sen allant] Ne vous embaraftez pas. SUE,' / |