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Show • r 306 L E S A M O U R S L U C A S. H d ! palfangue , qui s'en foucie? A-coutez, MademoifeHe Colette, llgn'ya qu'un m o t qui farve. Si vous vlez je l'en-varrai au barniquet. M A T H U R I N E . C'eft parler net. C O L E T T E . A u U j ? , (La Ceinture.) Quoi, Luois, tu voudrois pour moi Renoncer au cceur de m a Merc? LUCAS. J'aime mieux etre, par ma foi, Son Gendre, que votre Biau-pere. M ] A T H U R I N E , U Colette. T e voila ravie, m a Coufine. L U C A S. A I R 2.6. (Talalerire) Ahi j'ai le cceur chaud comme braifc,. Charmante Colette, pour vous [ C O L E T T E . Fripon, tu feras done bien-aife, Quand tu deviendras m o n Epoux? ^ •«•• ;?\ DE NANTERRE. 3o? L U C A S. Nuit 6c jour vous m'entendrez dire, Talaleri, talaleri, talalerire. • (// veut I'embrajfer.) C O L E T T E , fe defendant. A I R 84. (De quoi vous plaignez-vous r) A h ! Lucas, tenez-vous ! Ayez de la politefTe. A h ! Lucas, tenez-vous I Et craignez m o n courroux. L U C A S. Oh! j'aime a rire fans cefle; A batifoler toujours, A poufler la tendrefle *# I Tout au travars des choux, M A T H U R I N E . • Quel dr6le ! COLETTE. Tu prends un mauvais parti. LUCAS. Ai R 177. (Eft-ce ainft qu'on prend les Belles,?) O n dit qu'avec les fumelles II faut etre comme £*. CO- |