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Show 1 m m 1 «fo LA PRINCESSE £fl>ce la ce valet fidele, Qui tantot laiiToit eclater Les mouvemens du plus grand zele ? Je te vois faifi.de frayeur! A R L E Q U I N . Oui,fur ma foi, je meurs de peur. Le B O S T A N G I , senallant. Adieu. Jc vous laiife avec la Dame qui doit vous preTeriter. Jc m e retire. Dixix* tre! l'efprit eft une belle chafe. A R L E Q U I N . O h , diable! II abeaucoupa craindre,lui. S C E N E IX. Le PRINCE, ARLEQUIN, DILARA. D I L A R A , au Prince. AI R 42. (Dupont, mon ami) O jeune Etranger, Quel Demon vous prelTe, Malgre le danger, De voir ma MaitreiTe ? Fuyez loin de ces jardiLS, DE CARIZME. m Le P R I N C E. Belle, ces confeils font vains> D I L A R A. Zelica ne paroit point; vous pouvez en»» core l'dviter. Le P R I N C E. Je m'en garderai bien. A R L E Q U I N . Oh ! il n'en demordra pas. Le P R I N C E. A I R ^4. (Grimaudin.) Jc crois la. PrincelTe adorable; A R L E Q U I N , a part. Quel chien d'efprit! Le P R I N C E. Mais je la crois moins redoutable Qu'on ne le dit. A parler net, je nc crains rien.1 A R L E Q U I N , a Dilara. U vife aux Tours. D I L A R A. Je le Yois bien. Le |