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Show m • ^fl|| ,82 LA PRINCESSE A R L E Q UIN, au Sultan. Vous l'entcndez. Le B O S T A N G I . A i R 12 • ( ^ml$• fans reZretir paris) Vous jugez bien, par ce qu'il dit, Qu'il n'eft pas raifonnable. Le S U L T A N. Helas! II a perdu l'efprit! Rien n'eft plus veritable. Quel dommage! Le P R I N C E. A I R I£$. (On dit que vos parens) Amour, rends Zeilca fenfible a ma tendreffe; Enrlammc pour jamais ce Chef-d'oeuvre des (Cieux, (il fe met a rire.) H a , ha, ha , ha, ha! A I R 106. ( Ah ! Philis, je vous vis) Ah! Philis, je vous vis, je vous aimej Si je vous ai, je vous aimerai tant. Le S U L T A N. A I R 68. (Le Ciel benijfe la befogne) Ah ! pour le guerir je pretends Employer DE CARIZME. l83 Employer tous les Charlatans, Epuifer toute la Chymie. A R L E Q U I N . Vous augmenterez fa folic Le S U L T A N. A I R 15. (Je ne fuis no ni Roi, ni Prince) Vous, Vifir, allez dans la Ville Chercher quelque DocTeur habde.- Le V I S I R. fen fais un d'un fa voir profond,' Pour qui rien n'eft impenetrable,. A qui l'Enfer meme repond. Le S U L T A N. Je veux voir cet homme admirable. Le V I S I R , fortant. Je vais vous l'amener. SCENE IV. Le SULTAN, le PRINCE, le BOSTANGI, ARLEQUIN. Le S U L T A N , an Prince. Prince , il ne tiendra pas a moi , <JU lnoiui |