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Show t8o LA PRINCESSE Le S U L T A N. Comment, le Fils du Roi Perfe? A R L E Q U I N . Sans doutc. Vous voyez le Prince de Perfe dans m o n Camarade. Le S U L T A N. Qu'entends-je! Le B O S T A N G I. Et un fils unique encore. Le S U L T A N. Qu'allois-je faire! A R L E Q U I N , ft relevant. Cela change bien la thefe, n'eft-ce pas? Le S U L T A N. Allurement. A R L E Q U I N , fi carranu- Nous nefommes pas des canailles, com-me vous voyez. Le S U L T A N. A"iR 69. (La Ceinture.) Je m e fens touche de fon fort;, j'ai perdu toute ma colere: v. DE CARIZME. ,8l Au-lieu de lui donner la mort, Je veux lui tenir lieu de pere. Mais voyons s'il eft effe&ivemcnt devenu fou. Lc B O S T A N G I. C'eft une affaire toifee. Le S U L T A N. A h ! Princeinfortune ! Quel mauvaisgenie vous a pouife a voir Z<£lica? Le P R I N C E , comtne fe reveillant en furfaut* Zelica ! A I R 161. (Pata, Pata , patapen) Au fon de ce nom charmant Je fens que mon cceur fe reveille... (il change a"Air.) Refrain, de VAIR 104. (Non, non, il neft point defijoli nom) Non, non, 11 n'eft point de ft joli nom Que celui.,. (il change encore a"Air.) Fin del'Ai-R. (Olire, olire) Olire, olire, M a PrincelTe ,, olire, oh.. H 7 ARLE- |
