OCR Text |
Show 128 LA PRINCESSE ARLEQUIN, fautant comme lui. Talerala, lerala, lerala. Le H E R A U T. L'agrdable nouvellc! ARLEQUIN. Oui, ma foi. Qu'eft-ce que c'cll? Le H E R A U T. Zdlica n'eft plus a craindre. Elle nc paroitra pas dava.ntagc dans la ville. Le Su;tan,fr./ppe'dcs malheurs quecaufentles appas de fa Fiile, vient de lui deYendrede fortir jamais du Serrail. Lc PRINCE. Quel contre-tems! A R L E Q U I N. Quoi, l'on ne pourra plus voir la PrincelTe ? Le H E R A U T. Non vraimcnt. ARLEQUIN, danfant. Talerala, lerala! lerala, On entend en cet endroit des viclons v des hant-hW' Le DE CARIZME. n9 Le PRINCE. Qu'cntcnds-jc? Lc H E R A U T. - Ce font de jcunes Filles qui craignoicnt que leurs A m a n s ne viiTcnt la Fiinccife. Elles fe rcjouilfcnt avec cux de ladcYenfe du Sultan qui les dclivredccettecrainte. ll sen va en chant ant V danfant; Talerala, lerala, lerala. S C E N E IX. Lc PRINCE, ARLEQUIN, ARLEQUIN. AIR 5z. (Lon-lan-la, derirette) Vous ne -verrcz point Zelica. Le PRINCE. Malgie cette derlnfe-la , Lon-lan-la, derirette, Je pretends la voir, m o n ami, Lon-lan-la, deriri. ARLEQUIN , a part,. Quel enragd! F f Lc |