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Show i44 LA PRINCESSE M* D I L A R A, A moi? Le B O S T A N G I . Oui, D I L A R A. Vous Stes d'un bon cara&ere. i Lc B O S T A N G I . O h I nion plaifir eft d'obliger. D I L A R A. Jelevoisbien. Quoi, un jeune Etranger, beau fans doute? Le B O S T A N G I . Comme 1'Amour. D I L A R A. Bien-fait? Le B O S T A N G I . . Fait a pcindre.... A peu pies comme moi. j D I L A R A. Vous propofc de me & & & * * & un diamant, & vous avez la bontedevous charger de la communion! Le B O S T A N G I . Jc n'ai pu m'en dcYendre. DE CARIZME. D I L A R A. A I R I J. (Je ne fuis ne ni Roi, ni Prince) Votre humeur eft toute obligeante. Le B O S T A N G I , lui donnant le diamant. Acceptcz-le done, m o n Infante. D I L A R A , le prenant. Oui, jc le recois fans facon. Allez vantcr vos bons offices: Vous etes un joli garcon, De rendre de pareils fervices. Le B O S T A N G I , A h ! ce n'eft pas cc que vous penfez ! (mime Air.) Jc vais dire en deux mots l'affaire.."; [ D I L A R A., Pinter rampant. C'eft vous montrer bien debonnairc, Oui, des plus commodes Maris Vous pofledez la complaifance, Allez, mariez-vous a Paris; Vous etes ne" pour vivre en France.1 Lc B O S T A N G I . Vous me fcricz enrager. Je TOUS drs G DJ. que.. Tome III |