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Show ••HI *°4 LA PRINCESSE A R L E Q U I N . C'eft quclque e'chape' des Tours. Le C O N C I E R G E , apres avoir falue lePrinct (regarde Arlequin de travtrl Seigneur,... A R L E Q U I N , effraye. Hoi^e'; Quels regards! Le C O N C I E R G E. Freres, a Pair dont je vous vols con-i& derer ces F o u x , je juge que vous te aeax Etrangcrs. Le P R I N C E. Vous ne vous trompez pas. A I R II. (on n'aime point dans nos for hi) Nous fommes deux fils de Marchands. Nous vcyageons par fantaifie. A R L E Q U I N . Oui, Monfieur, nous courons les champs, Le P R I N C E. Nous voulons parcourir l'Afte. Le C O N C I E R G E. C'eft done un deilr curieux Qui vous attire dans ces lieux? ARLE, DE CARIZME lo$ A R L E Q U I N * Vous Favez dit. IV. F O U , * une fenitre. Refrain del'AIR 76. (V amour me fait ,lon-lan-la.) L'amour m e fait, lon-lan-la,, L'amour m e fait mourir. Le P R I N C E. Ce qui m'e'tonne, c'eft que l'amour cntrc dans les chanibns de tous ces Foux*. Lc C O N C I E R G E. Cela n'eft pas furprenant, puifque leurfo* Vie vient de l'amour. Le P R I N C E.- Comment cela?. Le C O N C I E R G E .. A I R 17. (Minuet d'Hefione.) 1 C'eft le merac trait qui les blefTe;; Tous ont perdu le jugememv Pour avoir vu notie PrinceiTe,. Q.u'on ne peut voir, implement;. «fC Le P R I N G E,, nrends-je.' |
