| OCR Text |
Show LES A N I M A UX ULISSE. Voila .de la morale que je ne lairTerai pas iniprimer dans Itaque. CIRCE' Elle eft fenfee. Interrogez vous-m£me les Animaux que vous voulez demc'tamor-phofer. U L I S S E , Eh ! comment les interroger ? Je ne fai ni aboyer, ui mugir, ni braire. CIRCE', lui donnant une baguette. Tenez. Avec cette baguette vous leur iendrez la parole & la figure humaine, pendant qu'ils feront avec vous. lis au-font feulement une legerc mat que de leur cfpCce, qui vous les fera diftinguer. ULISSE. Mais cette baguette leur rendra-t-elle auffi la raifon. C I R C E\ Non. La raifon leur feroit prendre un mauvais parti; PinftihQ eft plus fur, A - dieu, fage UluTe. Vous m'avez bien la mine de partir tout feuK 1 ULIS-RAISONNABLES. ULISSE, Oh! que non. Ji A I R 70. {Va-t'en voir s'ils viennent) Tous mes Grecs aflurement De moi fe fouviennent: lis vont tres joyeufcmcnt Accepter reinbarquement. C I R C E ' , fen allant, w fe moauanu Va-t-cn voir s'ils viennent, Jean,. Va-t-en voir s'ils viennent. S C E N E II. U L I S S ETfeuI. Voyons s'ils feront auffi fots que Circe* 1© dir. (apenevantplufieurs fortes cTAnimaux. Tai ! tai ! ... Oh ! que d'Animaux je vols iei! Parlez , Meflieurs les Ours, C o - chons & Anes. Voudrezvous bleu m'ho-noter de votre comp^gnie? Tous ces Animaux crient de differentes rnanlertsl Pcfte ! voila un concert a donner dans A f une |
