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Show Natur.ei.xe/ 5 teîîc , fondez fur ce que Dieu a die qu'il avoit règle Tes bornes ; du moins peut-on croire que cette Mufîqueexi-Ûe dans tous les élemens. Le P. Mer-cenne, dans fbn Traire de l'harmonie univerfelle , afïure que les vents imitent les Tons de toutes fortes d'in-flrumens. Mais comme tous les faits que je rapporte de cette préiîippofëe Mufî-que ce'lefte , ou naturelle, ou elémen-raire , paroifTent les uns miraculeux, 6c les autres naturels ; je n'entreprendra: pas d'en rien dirededc'diïf : cette fublime matière cft au-deifus de ma coïinoiflance ; il faut s'en rapporter aux Phyiîciens & aux fentimens de ceux qui cultivent ces hautes feiences, pour fçavoir ce qu'on en doit croire. J'oferai dire encore que la furpre-nante Machine deMarly peut donner une idée &même une efpece de preuve du mouvement harmonieux des Planètes -, laquelle auroit été encore plus fenfïblc, G l'Inventeur de cett^ merveilleufe Machine , avoir penfe d'ajoûteràfon mouvement des tuyaux d'orgue 3 qui auroient pu former un R |