OCR Text |
Show 6 L E C E L T B A T A I R E, V E R S E U I L , * part. O h ! celui-ci , jc crois, n'eft pas fait pour lui plaireA N E R I N E . Pourquot done parler bas I autant vaut-il fe taire, C'eft elle V E R S E U I L . Dieu! ii fail / N £ R I N E. Je vous en fait bon gre. Alontbriffon l'accompagne , il en eft enivre. V E R S E U I L , a part. Sortons : malgre ma joie &t mon impatience , Je dois pour le moment eviter leur prefence. ( 11 fort. Nenne Je retire lentement, & regarde Madame de Verfeuil avec humeur. ) SCENE V. La ComterTcde VERSEUIL, fous le nom de la Marquifed ROSANNE , MONTBRISSON. M O N T B RIS S ON. A.H ' je vous attendois avec empreiTement: Pour la tendre amitie , I'abfmce eft un tourment. J'avois befoin de TOUS , j'ai du chagrin. Julie , De jour en iour, fe Hvrc a fa mclancohe ; Cet e enfant minqoietM , & fa ™™*"*™*™ Ne peut etre , Madam, ^ f g ^ e a m°n '^U V Madame D E V E R S E U I L. Son Pere n'ecrit poim ; e!lc y £*£*% CeffC • Voila peut-etre aufli 1'ob.et de fa triftefic. *""-* ^VO^TBTSSON. Non : Ce filencc m'alarme , & c'eft avec raifon. Quel ami }*ai perdu I v F R S F U I L. v Madame D E V E K *> *- „.* e • Puis-je fans imprudence . Demandcr h ^f^JJ'^^J. Ce qui tous interefft 4 d r . H : * g * ^ ,u pfl d" ecu* q-i'on ne doit pas cachet. Son malheur eft d ; ccux <j ^ ^ ^ Ju _ ) Mais il montroit des moeurs St ae w v Dos delateurs puiffans bitntot le r Dinjurieta foupcons par degre le n Mon ami fuccomta: coup fui coup C 0 M E D I E. - Be fes biens , de fa charge , il fe vit depouil/e. La Cour fut prefenue , & la (Jour fai ieduite; Contre un inforiune le credit follicite. JJ'n long-temps feconfume a detrmre un mechanf 1 our perdre un honnete hofflme il ne faut qu'un infta« JJorival malheureux reftoit fam cs'pcrance • ' ' Je courus le trouver. « T u m'aimas des Peiifance • » Je re do,s -out lui dis-je , & je viens tc l'offrir '• » J aider dans ]j difgrace eft mon plus grand plaifir ' » Non , m e dit-S , ,c vais, loin dc la perfidie " n,rme,r u contre le f 0» "ne noble taduftrie • » Phi !.bre 8c moins connu , je feral plus heureux • Maw. tu peux facisfaire au plus doux de meS v«u'x ' • H me refte une fille , elle fera la nenne • "*" ^eevCarisy0'V0t1 r e^\-qU,eCC dr0it "««*»«. » ae vais , pour elle feuJc , au moment du reon* »Recommencermacourfe, & cherir me ,raV Pau ' Madame D E V f R U n i ""vaux. Quel pere .'...& ,llcl ami ,*.tR S h U 1L-MONTBRISSON' J"g=2 combien Julie a de^droi^ £ fid°'e- •"• tien,, dans mon c ^ T £ ' T & ! La place dc ma fcmme l „ i i , J "*! *Pri« . Suis-jeanez malheuTuxl v J T,0? fils- Je nc rurvivrois nai if..,'" '>0n * M a d a m c . fins elle Depuis pr6s <£ ^ x anS i/f"' ,Cn'ei,i; '' |« tou,o„rs leur t ^ ft p'rtfenft '°U S d c w • Tout fuitautourde moi ie n'V m" yeUX' •*°us etcs tout pour elle. " perc : MONTBRISSON. ? « je nnife a fes R0(ir« ^ ' "'a"ez Poi"' Penfer £ " Wi point ici , S cap ' °" Vc,,,l,ai« force Encbainerles bo ,,,. P nt fa l«'ncifc II fm. . DCJUX ans au forr A. i •'. ai taut que de f «u w n de la vlciIIefTe j Ou'un C C" fecreI Pour ma ,« Par fo" choix. ^u un amour venue... •, tendre Julie je Protege & d S ^ * " * «•*«* H vie • i.'n •a,/enii long.tcn°U s S . es Pe"c|lants du c' P f."LISr C" ioui^ "eft li 'nnocen^- douceur ' ' |