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Show 12.4, Tr4itÉ de [a Lumiere, Ckapz‘rfe IX. 125 il n'y a rien d'ailleurs qui les en pErënt derechef un peu apres,31 empêche. Et remarquez qu'en. vant queleurseauxqu'ilfautfup. tre les divers corps qui florent ainfi en l'eau ,ceux qui [Ont allez pofer fort calmes & d'une force allez égale, mais avec cela fort durs & affez maflifs,comme font rapides,aye0tloyfir de le mêler : lesbarteauxordinairement,principalement lesplusgrands & les lesBatreaux oules autres corps af- fez maHifs & pelans qui ferôt em- plus charge: , ont toûiours beau- portés parle cours de l'une,pour- coup plus de force qu'elle à continuer leurs mouvemens , encore ronrfacilemenr paffer en l'autre: mêmeq ue ce loit d'elle feulequ'ils l‘ayenr receu‘é. Et qu'au contrai- loigneronc & feront rejetrez par la force de cette eau,vers leslieux re ceux qui font fort legers,tels où elle ell le moins rapide. Par que peuvent être ces amas d'éca- exemple, 5 ces Rivieres font A. me blanche, qu'on voir Horer le B. F. & C. D. G. qui venant long des rivages en temps de tem- QUÎ_fe joignent en quelques en- de deux côtez differens, le rencontrent vers E. puisdelâ le de'- tournentA. B. vers F. & C. D.‘ vers G. Il ell: certain que le ba- d£°1£S lE"? {d‘autre , & qui fe fe- reau H. fuivanr le cours de la pefle, en ont moins. Enlorte que fi Vous imaginez deux Rivieres au lieu que les plus legers s'en é. |