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Show gb" Trailêde la Lumiere? _ fable, une pierre , un rocher ,& toute la terre même pourra apres être prife pour une feule_parric, Chapitre I I l . 31 dernieres , qui ont la puiffance de brûler. Qu'il y en airde plus petites, on le peut conje&urer de qu'un mouvement tout fimple ce qu'ellespenetrcntuutravers de plufieurs corps dontles pores font & tor1tégal. Or entre les parues 5 étroits;quel'airmêmen'y peut del‘airs'il y en a de fortgrofles a elles le remuent auffi fort lente- entrer. Qu'in en ait ou de plus grofÎes ou de groffes en plus grand nombre, on le voit clairement en ce que l'air feul ne ments & s'il y en a qui le remuent fuffit pas pour la nourrir. Qu'elles plus ville , elles font aufli plus pe- tites. Mais entre les parties dela flâme, s'il y en a de plus petites fe remUent plus ville , la violanee de leur a€tion nous le fait afflez éprouver. Et enfin que ce foient que dans l‘air, il y en a suffi de les plus gro[Îes de ces parties qui plusgrolfes,onclu moins,ily ena plus grand nombre d'égales aux plus groffescle cellesdel'air, qui avec cela le remuent beaucoup plus ville: & ce ne font que ces ont la pui[Ï3nce de brûler, & mon point les autres , il paroil'r en ce que laflâme, quilortde l'eau de entant que nous n'y conlrderons comparail0n des autres , comme font les atomes qui s'y _voyent, vie ou des autres corps fort lub- t1ls , ne brûle prelque point , & |