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Show ;: Trqiœ' de [a Lumiere, fixe par ce moyen mon dilcours plus intelligible, il me telle enco- re icy à vous faire confide:er,que I'a €tion ou l'inclinarion âfe mou. voir,quivefl tranfmife d'unlieu en un autre par le moyë de plufieurs corps qui s'entretouchent & fe treuvent fans interuption en tout l'efpace qui el} entre deux , fuit cxaâemene la même voye par où elle pourroit- faire mouvoir le pre- mier de cescorps ,G les autres n'étaient pointen fon chemin,fans qu'in ait aucunediffermce , finô qu'il faudroit du temps à ce corps pour fe mouvoir , au lieu que l'a. â:ion qui ell: en luy peut par l'entrcmife de ceux qui le touchent, s‘étendre julques â toures fortcs de dlfiancgs en un infianç ; & Pâf Chapitre XIV; 227 confequem que comme une balc‘ fe reflechit quand elle donne con- tte la paroy d'un jeu depaume, &: qu'elle l‘ouffœ refœ€tion quand elle entre obliquement dans de l'eau où quelle en fort : ainfi quand les rayons de la Lumiege rencontrent uncorps qui ne leu: permet pas de paflèr autre, ils doivent le rcHCClïlr, & quandils enuen: obliquemcu-t en quelque lieu par_ où ils fe peuvent étendre plus ou moins aifément,que par celuy d'où ils forcent,ils doivent aulli en ce changement fe détourner & foulfi1‘r réfmefition; u. n.. Enfin la force dela Lumieell non leulcmentplusourmoins gteîde en cl1âquelieu lelô la qui… rue des rayonsgui s'y affemlplerlt3 P i) |