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Show US Traitéde [a Lumiere, Chapitre V Il l.‘ 1i5 feulement euloifir d'y en decrire âtconferance enerieure du Ciel dix,aiufiqu'ellæ fermêt,fl llcs ne le remiiqi . nt qu'également »îtt3 F,G,G F. iufques au cercle K. ou mêmes que les plus hautes maispeut eflrepluscletrente. Et de rechef, celles qui font VC;‘S F. d'entre elles font quelque peu plus petites queles bailes,pourveu ouvemG que je luppple enétre qu'on ne fuppole point la diffe- deux outtois mille fois pluséloi- rance de leur grofleur plus gran- gué-:s, en peuvent peut eflre clé- deâproportion, que celle de leur oiteplu5defoixæte. D'oùvous Viteffe : mais il faut penier au contraire que depuis le cercle K. pourrez entendre tantôt que les Planetes qui font les plus hautes, le doivent remuer pluslentement que les plus baffcs ou plus proches du Soleil: Et enlemble plus lentement que les eomctes qui en font tpoutesfois plus éloignées. Pour lagroffcur de chacune des jufques au Soleil , ce font les plus balles qui font les plus petites, &: mefmes que la dilÏerance deleut gtoffeüt ell plus grande ou du moins aufli grande âptc>pmtion, que celle de leurviteffc. Car au:-, ttement ces plus ball-es étant les pmties'du feeoncl Element, on plus fortes à caule de leur agita- peut penfer qu'elle ell égale en tio:1 elles itoient occuper la pla- toutes celles qui font depuis la ce des plus hautes. Enfin remar' _H iii} |