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Show I 3R6 ON THE 1~11\IEDIATE CAUSES [ca. VII. le plus sterile, on con1pte encore soixante ou quatrevingt grajns. On croit qu'en gener~l le pr?duit du ma1s peut etre evalue dans la region eq~nnoctiale du royau1~1e de Ia Nouvelle Espagne a cent c1. nquante ponr un. "* - . This oTeat fertility produces, as 1111ght be ex-pected, its natural eff~ct of _making the maintenance of a family in ordtnary ttmes extretnely easy. In the tow·n of Mexico itself, vvhere provisions are very considerably dearer than in the country, on account of the badness of the roads, and the expense of carriage, the very dregs of the peop~e are, according ,to Humboldt, able to ,earn th~Ir n1aintenance by only one or two days _ l~bour 1n the week.t " Les rues de 1\!Iexico fourmillent de . vi not a trente mille malheureux ( Saragates Guaclti~ angos), dont la plupart passent la nuit ala belle etoile, et s'etendent le jour au soleil, le corps tout nu enveloppe dans une couverture de flanelle. Cette lie du peuple, Indiens et Metis, presentent beaucoup d'analogie avec les Lazaronis de Naples. Paresseux, insoucians, sobres comn1e eux, les Guachinangos n'ont cependant aucune ferocite dans le caractere · ils ne den1andent jamais l'aunH)ne: s'ils travaillent un ou deux jours par Semaine, ils gagnent ce qu'il leur faut pour acheter du pulqu-~, ou de ces canards qui couvrent les lagunes _Me:,1• caines, et que l'on rotit dans leur propre gratsse. But this picture of poverty is not confined to * Essai Politique sur la Nouvelle Espagne, tom. iii. l. iv. c. ix. p. 56. t Tom. ii. l. ii. c. vii. p. 37. SEC. IV.] OF TUE PUOGRESS OF WEALTH. 387 the dregs of the inhabitants of a large town.· "Les Indiens Mexicains, en les considerant en masse presentent Ie tableau d'une grande 1nisere. Re~ legues dans les terres ·Ies n1oins fertiles ; indo lens par caractere, ct pi us encore par suite de leur si~ uati,~n politique, les natifs ne vivent qu'au jour Ie JOUr. * With these habits they are little likely to make provision against the occasional failures in the ~rops of maize, to \vhich these crops are peculiarly hable; and consequently, \Vhen such failures take place, they are e~posed to extren1e distress. Speaking generally of the obstacles to the progress of population inN e\v Spain, Hun1boldt seen1s to consider famine and the diseases which it pro ... duces, as the most cruel and destructive of all. "Les Incliens Atnericains,'' (he says) " comn1e les habitans de l'Indostan, sont accoutun1es a se contenter de la 1noindre quantite· d'alirnens qu'exio-e . le besoin de la vie; ils augmentent en non1bre sa~s que l'accroissen1ent des rnoyens de subsistance soit proportional a cette augtnentation de population. Indolens par caractere, et surtout a cause de la position dans laquelle ils se trouvent sous un beau c~imat, sur un sol generaletnent fertile, les indigenes ne cultivent en rna1s, en pornn1es de terre, et en fro_n1ent que ce qu'illeur faut pour leur propre nournture, ou tout au plus ce que requiert lacon ... so1~~1ati~n des villes et ceiie des mines les plus VOlstnes. And further on, he says, " Ie manque * Tom. i. liv. ii. c. vi. p. 429. cc~ |
