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Show % LE VIABLE A QUATRE Quand un regard feVere Annonce ma colere, M a femme fe tient coi , tremble a part foi, Songe a fe tajre , Et meurt d'effroi. LE CUISINIER. II faudroit que M. le Marquis prit de vos lecons. L U C I L E. Que feroit-ce, fi elle crioit toute la jour* nee , & ne quittoit jamais la maifon l M ART ON. AhI ye crois Tentendre. Me. JACQUES. N e craignez rien,elle eft partie, je l'ai vu pafier : votre Maitre a parle" au Maitre-d Hotel; il m'a femble qui! lui difoit: A I R : Jai rM toute la nulu M a femme eft hors de chez nous*. Enfans divertivTez-vous, Faites enfemble un repas. N e vous grifez pas» N e vous grifez pas, Tenez , void dix ecus. Bans fa main je les ai vus? OPERA-COMIQUE. 9 SCENE V. Les Aftews precedens : des DANSEURS ' E T des D A N S E U S E S , habilles en Bomeftiques entrent enfe tenant par la main. L E C U I S I N I E R chante. A I R : BrillantJoleiL JJNFANS , prenez du bon temps,. Le Diable n'eft plus ceans. On danfe. Me. J A C Q U E S-A i R : Quand je tiens de ce jus d'OBobre. Mais j'appercois le pere Aiubroife, Sans doute il fort du cabaret; Quand le bonhomme y cherche noife , Ce n eft jamais qu'au vjn clair^t. SCENE VI, Les "ABems precedens , L E P E R V AMBROISE. L E PERE AMBROISE. Uetes-yous bonnes gens ? On ne o vousyoit pas. " •*."w |