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Show jo LE DIBBLE A QUATRE, Void ton rouet, Et voila ta filaiTe. Travaille , ou morbleu. LA MARQUISE lui donne un fiufk. Tiens, coquin; je t'apprendrai a refpec-ter une femme de m a forte. Me. J A C Q U E S. A h ! parbleu , voila la premiere fo qu'elle m e pr^vient; mais tu m e le payeras, ~ II tourne dans la chambri, cherche Jon tirepid. LA MARQUIS E. ^ Ah! c eft un tour du Marquis. A I R : Quoi ! ceft doncAa cet objet radieux. II m'a donne pour changer mon etat Quelque poifon , afin que je m'endorme; II m'a donne pour changer mon etat Quelque poiior ; oui, c'eft unfcelerat, Complot enorme 1 Uon me transtorme. Pour m e venger je vais faire un eclat; II taut en forme Q u e je m'informe Qui peut avoir conduit cet attentat. 11 m a donne pour changer mon etat, & Me. J A C Q U E S la bat. A h ' ah ! coquine , vous taites fabat. ' LA MARQUISE. Ah I fQ&&at, OPERA-COMIQVE. 3* Me. JACQUES. Ah, coquine! J.A MARQUISE. Je m e trouve mal; je m e meurs. _ Me. J A C Q U E S va chercher le Jceau ouurmt ^ tremper Jes cuirs. A I R . Accordons ma mufette. Pour ailer a ton aide Je fcais un bon remede : Je vais a mon plaifir Te faire revenir. LA MARQUISE. Ah / il n'eft pas poffibie de s^vanouir avec ce coquin-la. H e bien, miterable, veux-tu m e tuer? Me. JACQUES. Non; je veux que tu baifes la ;oue que tu as frappe'e. LA MARQUISE. Moi, oh Ciell Me. JACQUES. Tuhifites? LA MARQUISE. Jamais. Me. JACQUES. Je recommencerai. LA MARQUISE. Plutot mourir. Me. JACQUES. Je t'affommerai. |
