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Show m '.*••*&* ,ft LE DIABLE A QUATRE> 3 LUCILE. Maitre Jacques, laiffez votre f e m m e , je la crois folle. Me JACQUES. N o n , je le veux. LA MARQUISE. Q u e faire ? que devenir ? Je meurs de douleur. Me. JACQUESlfljcttant a gev/mx. T u mourras de m a main avant Made-xnoifelle Lucile , veux-tu dire ? L A M A R Q U I S E d genoux fur fes talons, Mademoifelle , o h ! quelleindignit^! Me JACQUES-Quelle indisnit^ , a m o i! ^ LA MARQUISE. Fraoper une femme de condition, ™ Me J A C Q U ES Frapper une femme en condition & une pratique encore. L U C I L L. Makte Jacques je le lui pardonne. Me JACQUES. Je crois qu'on l'a enforcelee. A i R : Non , je ne ferai pas- N o n , je ne consois pas fon exces d mfolena, Pour elle heureufement j'ai de la patience; Je fuis la douceur mane ; un » » « « £ " J * . Iroit prendre un baton ; mais jene menlersp Q h !.fi j'etois grisi I OPERA-COMIQUE. ^ LUCILE. AdM? 'j ACc5C3UE S reconduct Lucile & cepen* Oix veux-tu aller ? A l'ouvrage , coquine, LA MARQUISE. A i R : Un jour que favois mat danje. Je ne fgais plus que devenir , Si d'ici je pouvois fortir; lis ferment le pafage, Dans mon depit, dans ma fureur Oui , je fens naitre dans mon cceur Mille tranfports de rage. Je fuis meurtrie , il vient ; je tremble de irayeur, lefcdldrat! S C E N E III. LA MARQUISE,MeJACQUES. Me. JACQUES. O H ! Je t'apprendrai; fouffle lalampe , il fait grand jour. Elle va fouffler la lampe , il fe met a Vouvrage, s affied fur fon efiabeau. RofTignolet du bois, Roflignolet fiuvage. Prends m o n bonnet, donne-moi m a perm-que; il faut un air decent. Civ |