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Show 12 LE VIABLE A QUATRE. MAITRE JACQUES. Je m'en vais , je m'en vais, je fcais bien que vous n etes pas bonne. LE MARQUIS. H6, Madame, quel mal ont - ils fait ? LA MARQUISE. MonCeur, quand vous &tes a la chafle, je ne m e m£le ni de vos chiens , ni de vos piqueurs. LE PERE AMBROISE. Allons, Enfans, la paix: qu'eft-ce qui veut danfer ? Donnez-moi done a boire i ou en eft la Qontredanfe ? LA MARQUISE. Attends, je te vais donner de la contredanfe. ( elle lui cajfe fa vielle & la jettc k terre ^ LE PERE AMBROISE. A I R : l^duette , ah \qui me la remettm ? M a vielle ., M a vielle, A h ! qui m e la remettra ? Pourquoi m e chercher querelle ? A h ! m a pauvre vielle, M o i qui n'avois que cela. M a vielle, M a vielle, % gui jsiela racommod'ra I OP ERA-COMIQUE. *3 LE MARQUIS. Tiens, mon cher ami. LA MARQUISE. Ces mif&ables. LEPEREAMBROISE (retirantfa main.) Monfieur, je vous demande pardon. LE MARQUIS. Je ne te veux point de mal. LA MARQUISE. Cette coquine de Lucile. LE PERE AMBROISE. A I R : Nousfommes precepteurs d amour. A h ! ft je fcavois mon chemin ! Je fortirois d'ici bien vite. LE MARQUIS. Mon ami, donnez - moi la main. LE PERE AMBROISE. Mon bon Monfieur, en fuis - je quitte ? LA MARQUISE. A I R : Belle Princeffe. Ah canaille! A h canaille! Vous vous mettez a danfer, I A boire, a faire ripaille. A h canaille ! A h canaille! Uy a dans les airs notes a la fin une A R I P T T - N O , |