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Show V a* LE VIABLE A QUATRE; 3 LA MARQUISE. II m e tueroit... Si je fcavois ou eft la pop te. Par grace, <§coute-moi. T u as eu la har« dieffe de me.... Enfin , tu as m&itf Ij potence. _ . Me. JACQUES. Oui, c o m m e faux monnoyeur. LA MARQUISE. ^ Par grace, remene-moi au Chateau,\ te donnerai vingt loiiis. Me. JACQUES. A I R . Ah, la drole d'hiftoire. Quoi, vingt loiiis! A h ! donne \ Je les prends de bon cceur; D e plus, je te pardonne. L A M A R Q U I S E fouille dans fa pock, til tire une petite rape a tabac qu elle jettekn A h , grandsDieux, quelle horreur! M e . J A C Q U E S ramajfant la rapt T u as beau la cacher, je Pai vue. T< r>rendras done encore du tabac! pt LA MARQUISE. M o n cher coeur, je t'en prie r m°U Me. JACQUES. AiR. De Joconde. Oui, je veux bien avoir la paix; Oue veux-tu que ) ecoute J LA MARQUISE. Dis a quelqu'un de mes laquais. ecout. 3.«.» DPERA - COMIQUE. il Me. JACQUES a part. C'eft ce forcier fans doute. LA MARQUISE. Qu'il Me mettre au berhngot Mes chevaux au plus vite. Me. JACQUES* Berlingot, oh quel vertigo La rourmente & fagite! | Ceft ce Magicien: veux-tu que je recommence ? Mais non, je la tuerois. Pat plaifir laiffons la dire , pour voir fi cela finira. LA MARQUISE. ARIETTE Note N* .5. . Le defeipoir de moi s'empare ; Ah I ma rai/bn s'egare : Barbare, Barbare, Tu vois en ce moment L'exces de mon tourment. A h ! du moins,pourfoulagement, Que je meure promptement! Me. JACQUES,*/^. Barbate! Barbare! O u diable prend-eile ces mots-la ? Je crois qu'elle devient folle. II faut que je la ramene doucement. LA MARQUISE^rr. II faut que je parle encore avec douceur a un fcdldrat c o m m e celui-la / Cela m e luttoque. |
