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Show Whste ) d& l,abau 03 flrabes académiqu c 00allr Oment 'y & et [y 'éter, pou st enley $ cet arlist neipes, e e formen le et dign 1, et méril vation monve combie cenx q | dir {erm « Siano le attitudini degli womini on l « loro' membra in tal modo disposte ch « con quelle si dimostri )' intenzi ne de « loro animo (1) G&rdel 2 i compisés {eedus do )y croit Q ce gou Arabes nom No a été apporté par les Mau es , o d'ou ce genre d'ornement a ris so maitre d'école de dans auron auss mtrodui dans l'art cette expression, raiso des tableaux ressemblans ux arabesques de 1l peinture , par les groupes u'ils ont formé d danseurs et de danscuses, s'ent elacant de mill manieres, avec des guirlande ,‘ des couronnes des cerceaux ornés de fleurs et mélangés quelquefois d'instrumens antique propres a la pastorale; et ces attitudes qui rap ellent les belles Bacchantes que lon voit su les bas-relief antiques; par leur légereté pr sque aérienne, laquelle se réunit en méme-t mp la vigueu ct le contraste des Opposition , ont en quelque sorte rendu naturel notre art le mo arabesque. Je puis me flatte d'avoir été l premier a4 donner raison de ce te expression qui sans cela, placée dans notre ouche, pourrait appréter i rire aux peintr s, A qui ell avait apparten toute entitre (1) Trattato della Pittura. C'est, eut-étre le plus bel ouvrage que nous yons sur ce art divin. Léonard de Vinei, son au eur, fu |