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Show fant a io8 TYRID ATE, ARSINOE'. Fut-il iamais objet plu* touchant fous les deux ? Le Prince tout mourant fecouroit Suridice, Et quand mu* lisy voulions rendre le mefme office LatjjeZj-rnoy ( dtfoit-il) & fecourez> ma fœur, Mourant vn iour plutofi teuitoU mon malheur, le mouroisvoflre Prince,Cfte meurs fis d*Oronte\ M.ais n ayant peu lafuïrjabbrege au moins ma honte LaiJfeZj coller ce fang \ cet abiet, ce vilfœng, Qji*vn iujîe defefyoir a tiré de ce flanc, le le donne a la Reine,au Prince,a Bérénice, lA ïeftat, plus qu'à tons à ma chère Buridice* Euridice l'objet de mes plw chers defirs, fl falloit de te fier nos vœux (£ nos foupirs* II falloit qua l'ejpoirde mon ame enflantee Succéda fl la douleur de <vous auoir a^mee : yiure auec *uous fans <vcm, aimer & n aimer pas$ Mon cœur à fes rigueurs préfère le trépa*. Euridice • • • ce mot luj coupe la parole i. Il meurt. LE ROY. Et dans fa mort ce qui plus me de (oie 9 i-ef- il meurt fur <vnfoupfon,fur <vn bruit mal concett . Que <voui MtZt jeme , que mon fils a receu : |